Cher Bernard Stiegler, cher inconnu à jamais des pieds jusqu’à la
tête, vous dont (je) monte et dé-monte certains livres depuis quelques semaines dans la camera oscura du cinématographe de mon cerveau, c’est du trou, du trou perforant partout l’écran de
projection de la page dont vous montez en ce moment même le film de la lecture, que (je) vous écris.
Venant à
vous depuis le silence-moteur de pénétration du mur temporel, je viens vous dire que nous sommes, que vous êtes…
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